Les races :

  • Le lipizzan
  • Le lusitanien
  • Le sorraïa
  • L'alter real
  • Le pur race espagnol
  • Je vous pris de m’excuser, les autres races appartenant à cette catégorie ne sont pour le moment pas disponible. 





Le lipizzan









Cette race fut sélectionnée au XVI ° siècle pour servir d’élite de l’empire austro-hongroise. Sa puissance et sa grâce s’expriment aujourd’hui dans les difficiles figures de la haute école. Mais le lippizzan accepte volontiers les tâches les plus humbles.
L'élevage du Lipizzan débute au XVIème siècle. En 1580, l'Archiduc Charles de Habsbourg achète à l'Evêque de Trieste le domaine LIPICA aujourd'hui situé en Slovénie. Il y crée le haras, importe des chevaux andalous d'Espagne qui seront croisés avec des juments locales. La Cour de Vienne s'est par la suite toujours attachée au développement de la race en favorisant une sélection rigoureuse qui nous donne encore aujourd'hui des chevaux robustes, fiers et courageux. C'est pourquoi l'on attribue aux Lipizzans un caractère noble. C'est le cheval de la fameuse ECOLE ESPAGNOLE DE VIENNE. Retrouve encore plus d’informations sur France élevage lipizzan



 



 
Le lusitanien









Ce superbe cheval aux allures souples et élégantes symbolise avec honneur la haute école. Cette race déjà présente au temps des Romains, était selon eux, un image d’ ardeur, de souplesse et de maniabilité. Après les envahisseurs, le lusitanien a mêlé son sang à celui du cheval ibérique. Que se soit à la Renaissance ou à l’ age baroque, ce cheval très apprécié en Europe, était aussi bien à l’ aise dans les arènes que sur les terrains de combats. Sauf que les belles années passèrent et le lusitanien fus mis dans un coin pour laisser place aux courses de purs sangs. C’ est grâce au célèbre écuyé Nuno Oliveira que ce cheval d’ exception reprit sa place à sein des meilleurs chevaux du monde. La race est encore très populaire et on espère qu’ elle le restera pendant de longues années !







Le sorraïa








Cet étrange petit cheval, aux allures primitives et à sa robe particulière ne vit qu’ au Portugal.
C’ est dans une des vallées d’ Alentejo que le sorraia y est né. En effet, la vallée est délimitée par 2 cours d’ eau : l’un appelé Sor et l’ autre Raia. La race s’ est reproduite à l’ état semi sauvage jusque dans les années 1800. Pour des causes incertaines, le sorraia à peu à peu disparut. C’ est le Dr Ruy d’ Andrade, éleveur renommé de Lusitanien qui a permis à la race une nouvelle existence. Cet homme a entrepris de réinventer le sorraia à partir de quelques chevaux vivants encore dans la région d’ Alentejo. Ce petit cheval (ne dépassant pas les 1, 45), à la robe souris ou isabelle et aux zébrures présentes sur ses membres, possède encore les traits dominants de la race. Son courage te son endurance font rêver pas mal de cavaliers adepte de petits chevaux originaux. D’ après certains éleveurs portugais, le sorraia serait le type pur du cheval ibérique. Ressemblant au marismeno (cheval originaire du delta de Guadalquivir) et au criollo argentin, le sorraia pourrait bien être le « Zébra », un équidé sauvage présent au Moyen age. Ce petit cheval n’ aurait reçu ni sang nordique, ni sang oriental et serait apparut avant même l’ arrivé des chevaux barbes et arabes.





L'alter real











En 1748, le roi du Portugal (Joao V) construit un haras à Vila de Portel dans le but d’ élever des chevaux de haute école. Crée à partir des meilleurs chevaux ibériques, l’ alter real présente une énergie et une intelligence remarquable. José 1er (fils de Joao V) déménage de haras royal à Alter do chao, ce qui donnera plus tard le nom définitif de cette race. Les guerres Napoléoniennes, présentent au début du XIX° siècle menacent l’ alter real car en effet, l’ armée réquisitionne les plus beaux chevaux. En 1834, le haras doit fermer ses portes et la race subit de nombreux croisements. Au début du XX° siècle, la race est menacée d’ extinction mais le Dr Ruy d’ Andrade (1942), avec l’ aide de l’ état vont essayer de reconstituer la race grâce à quelques étalons et poulinières vivant encore dans le pays. Après avoir reconstitué la race, cette dernière est dressée à la perfection pour pouvoir entrer dans la célèbre école d’ art équestre portugaise où ils vont apprendre le passage, le piaffer, la courbette, la cabriole …







Le pur race espagnol












Cette race, originaire d'Espagne est très ancienne. Probablement croisée avec le cheval natif Espagnol, le Sorraia, le Barbe et peut être un peu d'Arabe, la race à été confondue pendant longtemps avec le Lusitanien avant la séparation récente et nette des deux Studbooks. L'Andalou était un excellant cheval de parade et de dressage. Le PRE (ancien-Andalou) est un cheval de grande prestance, élégant, athlétique et souple, à la fois fougueux et obéissant, de robe le plus souvent grise. Comme le Lusitanien, il est de plus en plus recherché en Europe et aux USA. On a beaucoup reproché à l'élevage du PRE de privilégier le côté spectaculaire des chevaux (allures relevées, longs crins, prestance, billardage) au détriment de la fonctionnalité et de la qualité. Ses sites : www.cheval-espagnol.biz et http://cheval-pre.com